Séjour où des corps vont cherchant chacun son rêve. Assez maussade pour permettre de piétiner en vain. Assez restreint pour que toute fierté soit vaine. C'est l'intérieur d'un ébahissement dramatique ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour l'avarice. Admiration. Sa passade. Son contentement. Sa jalousie comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de l'humilité totale émettaient chacun son hilarité. L'amour qui l'agite. Il s'enflamme de loin en loin tel un accès de colère sur sa fin. Tous se fâchent alors. Leur affolement va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout renaît.
Bidouille (Nordmann)
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